Share Dans l’archipel de Mingan, une plante rare découverte par le frère Marie-Victorin peine à se maintenir malgré les initiatives des scientifiques pour l’aider. Quatre-Temps est monté à bord d’un bateau de Parcs Canada pour découvrir comment on tente d’éviter la disparition du chardon écailleux, plus communément appelé chardon de Mingan au Québec. Huit heures du matin. La marina de Havre-Saint-Pierre, principale municipalité de la Minganie (Côte-Nord), est tranquille en ce jour d’octobre. C’est la fin de la saison touristique, mais dans un édifice adjacent, les employés de la réserve de parc national de l’Archipel-de-Mingan (RPNAM) s’affairent. On y rejoint Nancy Dénommée, biologiste et agente de gestion des ressources. Pour lire l'article complet : QT_juin2019_ChardonMingan.pdf Texte d'Émilie Nault-Simard, tiré du magazine Quatre-Temps, volume 43, numéro 2. Back to news Share